Une visite virtuelle de votre établissement ça sert à quoi?

planetKC

 

2016 est annoncée comme l’année du démarrage des lunettes de réalité virtuelle.

Côté terminaux de visionnage les annonces vont bon train, Facebook s’est emparé des Oculus Rift, mais des acteurs comme Sony ou HTC sont aussi sur les rangs.

Au début de la chaîne de production ce sont des acteurs comme Gopro, Nikon ou encore le pas si moribond Kodak qui essaient de proposer à « Mr-Tout-le-Monde » de capturer  son environnement direct en vue 360°.

Le principe vous le savez déjà est de saisir en photo ou en vidéo une sphère de 360°, sphère à l’intérieure de laquelle le spectateur va pouvoir diriger son regard comme il l’entend.

Si en vidéo de fiction le format se cherche encore car il entrainera un séisme dans la façon d’écrire un film dans lequel c’est le spectateur qui choisira de regarder tel ou tel angle de vue, privilège qui était jusqu’à présent réservé au réalisateur, en video et photo documentaire les champs d’application sont multiples. Je passerai sur la video de surveillance qui est un domaine évident. Non il y a un domaine de la réalité virtuelle qui est déjà entré dans nos moeurs.

Je vais rappeler à ceux qui crient déjà : » La réalité virtuelle! C’est de la science fiction, ça ne marchera jamais »  que finalement nous utilisons un petit service de réalité virtuelle depuis maintenant presque 10 ans et ce sans même plus nous rendre compte du côté virtuel de ce produit :  je veux parler de Google Street View. Eh oui, 10 ans déjà que nous sommes  dans la science fiction.

Combien de fois m’en suis-je servi pour faire des repérages en extérieur. Pour expliquer par téléphone l’endroit du rendez vous que j’organisais.

Street View a depuis quelques années un « petit frère » , un faux cousin, c’est la visite virtuelle Google-My-Business que certains établissements commerciaux peuvent faire réaliser par des photographes dans mon genre.

Ici un exemple de magasin de vélos électriques réalisé par mes soins.

Aussi simplement que l’on se promène dans la rue, on peut « pénétrer » à l’intérieur du restaurant ou de la boutique qui nous intéresse.

Alors certes on s’y déplace encore à la souris mais l’expérience sur mobile avec son écran tactile devient vraiment un jeux d’enfant. Et c’est là que Google est très fort. Grâce à cette immersion le client peut se faire un avant goût de l’ambiance de l’établissement. Et lorsque l’on sait qu’il est crucial de se démarquer des concurrents et de faire bonne impression du premier coup auprès de futurs prospects on comprend que proposer une telle visite va devenir un « must have » pour beaucoup de commerces physiques.

En effet, on imagine mal aujourd’hui les nouvelles générations de clients arpenter 1 ou 2 km de rue pour trouver un resto. Tout se fait déjà sur son smartphone. Il est donc tout aussi primordial de pouvoir se mettre en avant sur le smartphone du client que de proposer un belle décoration et une agréable devanture. Pour les commerces proposant des services « en arrière court » : les salles de sport, les instituts de beauté, les espaces de coworking, cette exposition en réalité virtuelle est même un axe majeur de leur capacité à faire venir de nouveaux clients.

Ici une salle de sport faite récemment par votre serviteur.

 

Enfin, on m’avance souvent que le bouche à oreille suffit et que celui ci ne coûte rien. Mais imaginons une scène de conseil entre deux amis aujourd’hui : « tiens je connais une excellente pizzeria à Puteaux! », que va faire l’ami qui reçoit le conseil, il va descendre voir la pizzeria? Bien évidemment non, il va regarder sur son smartphone et taper (via google Search) le nom de la pizzeria pour pouvoir s’en rappeler. Si alors la fiche Google My business de l’établissement (qui apparaitra en gros à droite) lui propose une visite virtuelle alors les éléments déclencheurs d’une prise de décision à aller dans cette pizzeria vont être décuplés.

Regardez dans l’image suivante la façon que Google a de mettre en avant la fiche Google My Business en haut à droite, il serait dommage de na pas mettre cet encart en valeurs avec de bonnes images, vous ne trouvez pas?

Capture d’écran 2016-02-10 à 09.30.23

Et si, cerise sur le gâteau, la déco vue via cette visite lui plait, alors l’ami n’ira peut être pas tout seul dans la pizzeria en question car il pourra lui aussi faire son « fanfaron » en disant à sa copine du moment : « tu sais je connais une petite pizzeria super bonne et romantique à souhait ».

Dernier argument en faveur des visites virtuelles des fiches google My Business : le référencement naturel local dans Google Search le moteur de recherche web. Avec l’arrivée imminente de la mise à jour de Google Penguin , le nouvel algorithme de recherche de Google la recherche locale va très certainement avoir un impact encore plus important pour le référencement naturel. En effet, les résultats locaux (qui apparaissent juste en dessous des annonces payantes avec une carte google maps sur la page de résultats Google) seront mis de plus en plus en avant par Mr Google.

Capture d’écran 2016-02-08 à 14.38.33

Il est donc plus que judicieux de mettre en valeur votre fiche Google my business car si avoir un site peut être indispensable pour une activité de vente à la fois physiques et en ligne, pour la plupart des commerces physiques classiques une belle fiche Google My Business bien étudiée peut avoir énormément d’impact sur le futur client. Elle permet d’être un point de départ pour augmenter son chiffre d’affaire très simplement car nul besoin de faire appel à une agence de création de site web.

De bons renseignements, de belles images, de bons avis et une très informative visite virtuelle en 360 vont dans 90% des cas suffire à décider un client de venir chez vous.

Faites donc appel à un photographe dans mon genre pour réaliser photos et visite virtuelle de votre établissement. Photos et visite que vous pourrez aussi utilisez sur vos autres plateformes de communications en ligne : page Facebook, site internet, etc.
Retrouvez d’autres visites virtuelles en section Architecture de mon site

Visites Virtuelles 360°

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Visites virtuelles 360° Google My Business pour les commerces et les entreprises

La vie en ART Suresnes

 

CoworkCrèche Paris 11

 

Keep Cool Puteaux Club de Fitness

 

Pizzeria Il Castello Puteaux

Les Cyclistes Branchés Paris 16

Sunny Smoker Paris 1er

Velo Actif Suresnes

Yoga Neuilly sur Seine

Voyage au pays du Captainweb #224

Par un frais soir de janvier Jérome Keinborg et moi même sommes allés participer à un épisode (le 224) de l’apéro du Capitaine Web.

Je vous livre ici quelques détails croustillants de la déco façon « Maison et Travaux » qui règne dans la cave.

C’est agencé avec goût, délicatesse et sensibilité. Tout en tons pastels. Une décoration que n’auraient pas renié nos ancêtres les Néandertaliens.

En revanche il me fut interdit de prendre en photo Lord ton Père. Sous peine d’excommunication. Je n’aurais pas voulu risquer ma place au paradis des buveurs de flotte pour une simple image en couleur.

Adobe Lightroom et son dossier « cache » fou

Par un beau matin mon disque dur de démarrage m’annonce qu’il n’a plus beaucoup d’espace encore libre. Je sais que mon tonton américain m’a envoyé dernièrement quelques épisodes de mes séries préférées mais finalement pas tant que ça…

Donc comment se fait-il que ce disque sur lequel je ne stocke pas de fichiers lourds (mes images RAW et mes rushs vidéo vont systématiquement sur un autre disque interne de mon portable) ait pris tant d’embonpoint?

Et bien, ma surprise fut de trouver caché bien au chaud dans le répertoire de mon disque de démarrage un petit dossier malicieux qui faisait du gras à l’abri des regards. Un sale petit dossier bien replet qui en plus ne me sert à rien.

Je suis sur Mac et si vous avez installé l’application Adobe Lightroom (et vous l’avez installée si vous lisez cet article, ou alors vous êtes vraiment un pervers geek carrément siphonné du teraoctet) vous le trouverez à l’emplacement suivant :

mon-disque/Users/me/Library/Caches/Adobe/Lightroom/Video/Media Cache Files

et sur Windows :

C:\Users\[usename]\AppData\Local\Adobe\Lightroom\Caches\Video\Media Cache Files\

arborescence

 

En gros, Adobe Lightroom vient placer dans ce dossier des fichiers « cache » lui permettant d’afficher les imagettes animées des vidéos rangées dans vos bibliothèques. En effet, depuis 2012 et la version 3 de l’application, Adobe Lightroom permet de cataloguer mais aussi de retoucher et couper des vidéos. cette fonction un peu inutile pour un vidéaste chevronné, qui préfèrera utiliser d’autres logiciels dédiés à la vidéo, a surtout été implémentée à l’intention du photographe qui occasionnellement réalise un ou deux courts plans vidéos à l’aide de son appareil photo.

Très bien, c’est gentil Mr la Daube, ce qui l’est moins c’est la façon qu’a le logiciel de gérer ces fameux fichiers « cache ».

Premier point : les fichiers en question pèsent parfois plus du double de la taille des fichiers dont ils sont censés accélérer la lecture. Je m’étais plusieurs fois fait la remarque suivante : « quelle torture l’aperçu des vidéos dans la grille de Adobe Lightroom! ». En effet, vous glissez votre curseur au dessus de la vignette, un roue rotative vous indique qu’un petit calcul se fait, puis vous entrapercevez une très mauvaise animation saccadée représentant le déroulé de votre vidéo. C’est moche, c’est lent, et surtout c’est assez surprenant d’avoir une aussi mauvaise expérience sur un logiciel professionnel quand, chez le même éditeur, Adobe Première Pro via son explorateur de fichiers vous permet la même fonction mais de manière ultra rapide (pas tout à fait temps réel quand même).

Heureusement que Première n’est pas écrit par les mêmes informaticiens que Lightroom car sinon jamais je n’aurais eu l’envie de m’essayer au montage vidéo.

Deuxième point : vous ne pouvez pas décider de l’emplacement de ce dossier cache. Non, il se trouve obligatoirement à la racine de votre dossier utilisateur. Merci les ralentissements système quand le disque doit naviguer entre ces tonnes de mini fichiers et en même temps faire tourner votre ordinateur.

Etonnement là encore, puisque Adobe After Effects ( lui aussi très « productif » en matière de fichiers « cache » ) vous permet de choisir le lieu favori où vous voulez qu’il stocke ces données temporaires.

Plus ennuyeux encore : la fonction de limitation de taille du dossier « cache » présente dans le panneau Préférences de l’application (en rouge sur l’image plus bas) ne semble servir à rien. J’ai lu sur le net qu’apparemment elle limiterait la taille des fichier individuellement. Pas celle du dossier final.

Dernier point, et non des moindres : ce souci ( car il ne s’agit pas à proprement parler d’un bug ) semble exister depuis au moins 2013. Trois ans! Une éternité en informatique!

Bon, soyons fair-play, ce problème ne vient finalement déranger l’utilisateur que si celui-ci est un abonné des grosses production vidéos.

Et je pense que c’est ce qui m’est arrivé.

Avant janvier 2015, date à laquelle j’ai commencé à produire des émissions régulièrement pour NowTech.TV,  je n’avais jamais eu à me plaindre du dossier maudit.

Mais après cette date, donc en un an de temps, j’ai un peu abusé de la fonction vidéo de ligthroom pour « prévoir » mes rushs avant de commencer l’étape du montage. C’était bien pratique de voir si tel plan était bien, sans pour autant avoir à créer un projet sous Adobe Première Pro.

C’est mal et je ne le ferai plus , promis, juré, craché!

La bonne nouvelle c’est que vous pouvez purger ce dossier de tout ce qu’il contient sans risquer le plantage de Adobe Lightroom.

Soit en appuyant sur le bouton « purger »  ( en vert ) du Panneau Préférences ( j’ai lu que chez certains ce bouton était inefficace, chez moi ça fonctionne ), soit en allant à la main dans l’arborescence de votre disque saisir ces fichiers et les balancer à la poubelle.

Prérences Lightroom

La mauvaise nouvelle c’est que dès que vous

1-importerez des vidéos depuis une carte mémoire

2-survolerez un dossier contenant des vidéos

votre dossier se remplira de nouveau.

Le mien contenait près de 120 Gb de fichiers cache. Mon SSD de boot de 500 Gb commençait à se sentir un peu à l’étroit.

Moins amusant, après avoir purgé le dossier, puis réimporté dans Lightroom un dossier contenant quelques 479 mini vidéos ( des souvenirs de vacances pris au smartphone ) juste pour voir ( je sais je suis un vicieux ), quelle ne fut pas ma surprise de me retrouver avec un monstrueux dossier de 14,8 Gb!

14GB

 

Tel l’Hydre de Lerne, ce dossier se régénère tout seul, il vit dans votre disque dur et grignote goulûment vos précieux Mo achetés à prix d’or.

Ma solution? Et bien… attendre que Mr la Daube résolve ce disfonctionnement.

Non je plaisante.

Si vous ne faites pas ou peu de vidéos vous pouvez juste surveiller de temps à autre ce dossier et le purger périodiquement.

Si vous faites beaucoup de vidéos, n’importez pas ces dernières via lightroom.

Et si vous veniez à commettre une telle erreur ( car dans le feu de l’action d’un reportage c’est peut être plus pratique de ne faire qu’une action pour récupérer les données d’une carte mémoire ) : rangez vos vidéos dans un dossier spécifique à part de vos photos, effacez ce dossier de la mémoire de votre catalogue Lightroom ( les fichiers originaux eux resteront intacts dans leur dossier de rangement ) et purgez le dossier cache. Préférez un autre logiciel pour cataloguer vos vidéos, au pire l’explorateur de médias windows ou la fonction aperçu du finder de mac OS feront largement l’affaire.

Voilà, c’était la minute minceur photo. Quelques Gb en moins et on se sent tout de suite mieux.

Tristan

 

 

 

Silence ça pousse chez Stéphane Marie

Juste avant que l’hiver ne vienne recouvrir de son manteau glacé les parterres fleuris de Stéphane Marie, France 5 m’a envoyé faire des  photos « en couleur » sur une journée de tournage de l’émission. Ambiance frisquette dans le ciel mais chaleureuse chez les hommes. Retrouvez la bonne humeur de Stéphane Marie et de Caroline Munoz aussi dans ma série faite en studio.

Alors alors alors?  Silence … ça … pousse!

 

2 emplacements de carte mémoire dans son appareil photo c’est bien!

Cet article est la version écrite de l’épisode vidéo « la sauvegarde photo » que vous pouvez regarder ici et à consommer sans modération sur la chaîne youtube nowtech.tv

double emlacement-carte

S’il est une caractéristique d’appareil photo dont on peut se demander si c’est vraiment utile c’est bien le double emplacement de carte dans un appareil photo.
Et pourtant, il y a deux vraies bonnes raisons à préférer ce genre de fonction.

carrousel-appareil
J’ai conscience que cet article somme toute assez court ne s’adresse qu’aux heureux possesseurs ou futurs acquéreurs d’un appareil photo présentant la possibilité d’avoir un double emplacement. Cependant je vous explique à la fin, quelle méthode j’utilise sur mon smart-phone pour obtenir un résultat similaire en matière de sauvegarde.

 

Car la première raison pour laquelle je pourrais plus me passer d’un appareil présentant un double emplacement concerne ma paranoïa en matière de sauvegarde. Je ne veux pas courir le risque de voir ma carte mémoire refuser de fonctionner à la fin de la journée.
En effet, aujourd’hui les capacités des cartes mémoire sont de plus en plus grandes et tout perdre est pour moi inconcevable.
Que vous soyez professionnel ou non il existe un moyen de vous assurer de ramener au moins des jpeg HD de votre séance de shooting. Et c’est le double emplacement qui le permet.

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Sur mon canon 5D mk3 je précise en effet à l’appareil de m’enregistrer à chaque déclenchement l’image Raw sur la carte SD et sa copie Jpeg L sur la carte CF.
Je préfère mettre les images RAW sur la sd car mon ordi portable a un lecteur interne à ce format là, tandis que la CF m’obligerait à sortir un lecteur externe qui même en USB 3 est moins performant.
Ainsi la CF reste à demeure, au chaud, dans l’appareil et engrange le résultat de plusieurs journées de shoot, me gardant une archive que je n’efface qu’une fois mes images à l’abri sur 2 endroits différents.
Parlons d’ailleurs vite fait de ma manière de sauvegarder mon travail et je serais ravi que vous m’exposiez votre méthode à vous car il n’y a en matière de sauvegarde pas une seule méthode mais plusieurs. Toutes doivent répondre cependant à quelques règles : deux endroits de sauvegarde minimum (3 c’est mieux) et surtout, surtout, un process qui se fait automatiquement sans intervention humaine.

screenshot-lightroom
Je procède ainsi : mes cartes sont déchargées sur une partie de mon Disque dur de travail qui est en synchronisation automatique avec une copie équivalente chez dropbox. Certes j’ai un abonnement payant qui me permet de stocker jusqu’à 1 To de fichiers Raw. Mais c’est le prix à payer pour être tranquille car mes fichiers RAW sont à l’abris dans deux endroits différents et ce de manière automatique. Si on me vole l’ordi ou si son disque vient à planter je sais qu’une copie des fichiers originaux m’attend sur le net chez Dropbox.

screenshot-droboxweb
Bien entendu cette synchronisation est lente puisqu’elle se fait via le net. Cela peut prendre 12H voir 6 jours pour se terminer mais pendant ce temps rappelez vous qu’un copie Jpeg HD est rangée dans un carte CF que je n’efface que quand la synchro dropbox est terminée.
Mes fichiers RAW resteront sur mon ordi et dropbox jusqu’à ce que j’ai terminé de travailler avec eux. Quand je n’en ai plus besoin. Je les archive sur un système raid qui aujourd’hui pèse un peu plus de 16 To.

system-raid
Voilà donc la raison première qui fait que je privilégie un appareil me permettant d’avoir deux emplacements de cartes. Je conseille vivement à tous de penser maintenant au risque de perdre ses images pour une broutille comme la perte de la petite carte sd qui tombe de la poche ou bien son refus de restituer ses données en raison d’un plantage hardware.

carte-fall
Ma méthode je sais n’est pas la plus accessible en raison du prix des appareils permettant cela. Mais au moins je suis certain d’avoir une sauvegarde à l’instant même où je prends mes images.

passage de carte
La deuxième raison qui me fait utiliser le double emplacement c’est lorsque je réalise une séance de portraits pour un particulier.
J’inverse alors la configuration précédente et enregistre les RAW sur la CF et les jpeg sur la SD
Ainsi à la fin de la séance je peux donner la carte SD à mon client qui emporte avec lui l’ensemble des prises de vue de la séance. Ce dernier est rassuré au moment de me payer peut dès son retour chez lui choisir la dizaine d’images qu’il veut voir développées et retouchées. Retouches que je fais à partir des RAW que j’ai gardé sur ma carte CF à la fin de la séance.
Je choisis bien entendu de lui confier une carte SD car elles sont en général lisibles sur la plupart des ordinateurs.
Voilà la deuxième raison d’avoir un double emplacement pour cartes mémoires sur mon appareil photo.

 

Je vous ai d’ailleurs fait ci dessous une liste 2015 des appareils proposant cette possibilité, liste je mettrai à jour au fur et à mesure de l’apparition de nouveaux boitiers. N’hésitez pas à me contacter pour me faire connaitre des boitiers que j’aurais oublié.

EOS 1D mk 2
1 DS mk 2
1 dmk 3-4
5d mk3
1DX
5ds
5DC
1DS mk3
NikonD800-810-D4-D750-D610-D600-D7200
PENTAX K-3 II
Fujifilm finepix S2 PRO-S3 pro

shoot-connecté

Enfin, si vous n’avez pas un boitier à double emplacement de cartes il est intéressant de vous tourner vers les boitiers qui aujourd’hui proposent un module wifi. A la condition que ces derniers le permettent et que vous ayez un ordinateur à coté de vous le jour du shoot il est alors possible de rapatrier les images via wifi tout au long du shoot. Je pense aussi aux cartes EyeFi mobi et mobi pro (qui permet le transfert de RAW) qui est une manière de palier a l’absence de module wifi.
En studio une autre solution est aussi de shooter en mode connecté, tout en ayant activé l’enregistrement des images sur la carte aussi.

dropbox-chargement-appareil-photo

Pour toutes mes images faites avec mon Smartphone, et puisque j’ai un abonnement dropbox (icloud, google photos, et tout un tas d’autres services proposent cette option) : j’active sur celui-ci le rapatriement des images de ma bibliothèque photo dès que je suis en connexion wifi. Comme ce sont des jpeg ou des mpeg4 c’est assez rapide. Un dossier spécifique sur mon environnement desktop m’attends dans la minute qui suit avec mes dernières images rangées par ordre de prise de vue.
Voilà j’espère que je ne vous ai pas trop fait flipper avec ma paranoïa de perte d’images. Et puis en fait tant mieux si c’est le cas, car il vaut mieux se faire une petite réflexion vis à vis d’une perte éventuelles des images avant que celle-ci n’ai vraiment eu lieu. Si vous avez adopté une autre solution plus maligne que la mienne tant sur smartphone que sur appareil photo je serai ravi de la connaitre.

Séance « Délires » avec Caroline Munoz et Stéphane Marie pour l’émission « Silence ça pousse » sur France5

Voilà, une super séance photo faite en studio avec des personnes vraiment adorables …. et professionnelles.

Je vous rappelle que « Silence ça pousse  »  sur France 5 parle toutes les semaines de jardinage. Un sujet à priori super sérieux. Mais cela n’empêche pas les deux animateurs d’être de drôles de boute-en-train qui savent mettre de l’ambiance. Vous allez le voir dans cette série photo.

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